Aide pour le coach
Défi 7 : La nation de Dieu
- CONSEILS généraux pour ce défi et les autres
- COMMENCEZ votre introduction à cette partie de la Bible
- CREEZ LE LIEN entre les cinq histoires de ce défi
- CONSIDEREZ ce que ce défi veut dire aujourd'hui
- CLARIFIEZ les enjeux qui peuvent apparaître dans ce défi
- COMMUNIQUEZ et parlez avec Dieu
CLARIFIEZ les enjeux qui peuvent apparaître dans ce défi
“Mais je ne suis qu’un enfant”Il n’y a pas d’âge pour être appelé par Dieu à participer à ses projets, comme nous le montrent les histoires de Samuel et de David, qui étaient tous deux de jeunes garçons à l’époque. C’était le jeune Samuel, et non le prêtre consacré, Héli, qui a entendu la voix de Dieu. C’est notre disponibilité, et non notre âge ou nos capacités, qui a de l’importance pour Dieu. Il a choisi l’enfant le plus jeune de la famille de Jessé pour être le prochain guide de la nation.
Est-ce qu’aujourd’hui je peux entendre la voix de Dieu, comme Samuel ?
L’Ancien Testament est plein d’exemples où Dieu communique avec son peuple. Parmi ces exemples, il y a une voix audible par une personne, une voix forte venant du ciel, un buisson en feu, des anges, des rêves et des visions pour n’en citer que quelques-uns. Dieu est toujours Dieu et il communique comme il veut, mais certains de ces moyens de communication sont plus rares de nos jours. Dans Hébreux 1 :1-2 on lit : “Autrefois, Dieu a parlé à nos ancêtres à maintes reprises et de plusieurs manières par les prophètes, mais maintenant, à la fin des temps, il nous a parlé par son Fils “. Il y a toujours certaines personnes qui peuvent entendre la voix audible de Dieu de nos jours, mais il y a bien plus de chances pour que nous entendions Dieu en lisant la Bible, en parlant avec nos amis chrétiens et en écoutant sa voix douce qui parle à notre cœur et à notre esprit quand nous passons du temps avec lui.
Pourquoi Samuel a-t-il embrassé Saül et versé de l’huile sur sa tête ?
Une des coutumes bibliques était d’ « oindre » une personne ou un objet. Ce rituel, qui consistait à verser de l’huile, devait montrer le caractère sacré d'une personne ou d'un objet pour le service de Dieu et était mis à part. Le baiser sur la joue était une salutation habituelle et une marque de respect, tout comme certains chrétiens baisent la bague de leur chef spirituel.